La jeune femme ayant accusé Neymar de viol a affirmé avoir subi des attaques en une semaine à peine après avoir fait des déclarations sur le comportement de la star du foot dans un hôtel parisien. Najila Trindade a indiqué que sa vie est devenue un enfer depuis qu’elle a prétendu avoir été violée par le footballeur.
Dans une interview accordée à la chaîne brésilienne Record TV, elle a déclaré qu’elle était harcelée, personnellement persécutée et que sa vie privée avait été envahie par les partisans de Neymar. Elle a pleuré en affirmant qu’elle souffrait maintenant de crises de panique et qu’elle avait besoin de médicaments pour dormir.
Un enfer pour la jeune femme
La semaine dernière, la jeune femme aurait perdu 10 kg, parce qu’elle avait des problèmes avec les aliments. Elle a confié qu’elle ne pouvait plus dormir que si elle prenait des comprimés. Les gens veulent en savoir plus sur sa vie privée.
Voici une vidéo parlant de cette agression :
https://www.youtube.com/watch?v=Xk6vwZkW-_k
D’ailleurs, elle est victime d’harcèlement au quotidien, a-t-elle indiqué. Elle a aujourd’hui des difficultés à s’occuper de son fils. Elle est condamnée à rester chez elle, puis lorsqu’elle sorte de la maison, elle est constamment poursuivie par les fans de Neymar.
Les faits concernant cette agression
Des textos auraient été envoyés entre Mme Trindade, âgée de 26 ans, et son ancien avocat, faisant des réclamations plus sordides contre l’attaquant brésilien de 27 ans. Mme Trindade, originaire de Sao Paulo, a déclaré que la star du PSG lui avait violée dans une chambre d’hôtel à Paris le mois dernier, après que les deux hommes aient commencé à flirter sur Instagram.
Neymar nie fermement toutes les allégations d’agression sexuelle qui auraient été formulées à son encontre, affirmant que la relation était consensuelle et qu’il faisait l’objet de chantage. Les messages WhatsApp échangés entre Mme Trindade et son ancien avocat, José Edgard da Cunha Bueno Filho, ont montré que la jeune femme a accusé le footballeur de fou et de danger pour la société.