La pandémie de COVID-19 a non seulement perturbé le sport, mais a accéléré les tendances à long terme qui changent fondamentalement la façon dont le sport est consommé, dispensé et géré, suggèrent les chercheurs d’un nouveau rapport de l’Université de technologie de Swinburne, de l’Université Deakin et du sommet sur le leadership sportif, SportNXT.
Les chercheurs ont analysé les expériences et les perspectives des cadres supérieurs du sport des équipes professionnelles, des instances dirigeantes du sport et des groupes de défense pour évaluer l’impact de la pandémie sur les pratiques commerciales et les principaux enseignements tirés.
Adopter la transformation numérique
Les organisations sportives ont adopté de manière proactive et rapide le rôle de la technologie pendant la pandémie, trouvant de nouvelles façons de réinventer le contenu numérique et d’augmenter la diffusion de la diffusion.
Ci-après une vidéo montrant la place du digital dans le sport :
Le directeur du Sport Innovation Research Group de Swinburne, professeur agrégé, Adam Karg, affirme que les pratiques numériques, autrefois un avantage concurrentiel stratégique, sont devenues essentielles à la survie. La pandémie a fourni de nouvelles façons pour les athlètes et les entraîneurs de travailler ensemble, et nous avons trouvé de nouvelles façons de regarder le sport, d’entreprendre de nouveaux rituels et d’interagir avec les équipes et les athlètes.
Nouveaux styles de leadership et de collaboration
L’incertitude collective créée par COVID-19 a également conduit à de nouvelles pratiques de leadership et à des niveaux de collaboration inédits dans une industrie connue pour ses hiérarchies et ses silos, qui ont fait progresser l’efficience et l’efficacité de l’ensemble de l’industrie du sport.
De nombreuses organisations sportives ont réagi en adoptant de nouvelles façons de travailler et de communiquer, en réimaginant leurs produits et leurs processus et en rompant avec les visions enracinées des styles de leadership. Les dirigeants et les organisations ont davantage communiqué les uns avec les autres, partagé des informations, formé et renforcé des partenariats. La poursuite de ces pratiques ouvre la porte à des systèmes et procédures centraux, et au bon type de partenaires et à condition de prospérer dans l’écosystème du sport.