Le sport est souvent considéré comme un simple divertissement, mais c’est là que se jouent certains des problèmes les plus graves, des relations géopolitiques aux relations publiques internationales. Il est donc normal que le sport devienne la pierre angulaire sur laquelle les arguments de longue date concernant le genre devraient enfin s’ouvrir.
Martina Navratilova, l’une des plus grandes athlètes de tous les temps, est entrée dans le débat notoirement fébrile sur le genre et a écrit que les femmes trans ne devraient pas avoir automatiquement le droit de concourir dans le sport féminin, car elles ont des avantages d’être nées mâle.
Des commentaires ayant reçu de fortes critiques
Les médias, terrifiés par le mauvais côté de l’histoire, ont réagi de manière prévisible, et la presse a indique que Navratilova avait été critiquée pour avoir fait des discriminations à l’encontre des femmes transgenres.
Voici les détails de cette nouvelle en anglais :
Même si ces critiques proviennent en grande partie d’une cycliste relativement inconnue, Rachel McKinnon, la situation semble très compliquée. Lorsque Navratilova a publié un autre article, réaffirmant fermement sa position, les critiques ont de nouveau suggéré des actes répréhensibles. Ce qui a moins retenu l’attention des médias a été le soutien à Navratilova d’autres athlètes reconnus, comme Nicola Adams, Kelly Holmes, Paula Radcliffe, Sally Gunnell et Chris Evert.
Des arguments assez surréalistes
Les arguments sur le genre sont maintenant tellement pervers que la plupart des personnalités préféreraient se manger les cheveux que de s’exprimer à ce sujet. Mais le sport est un domaine plus clair pour certains que, par exemple, les prisons, où divers groupes ont débattu pour savoir si les femmes transgenres devraient être hébergées avec des détenus masculins.
L’idéologie actuelle est que l’identité de genre est au moins aussi importante, sinon plus, que le sexe biologique. C’est pourquoi un groupe sportif peut écarter les arguments de Navratilova concernant les avantages des transgenres.